| Souvenir d'une balade alsacienne... Cette balade, au départ de Périgueux avec Marie-Jo, s'est tout d'abord posée dans le Berry, chez Anne et Denis... Découverte de leur "home, sweet home" tout neuf et de leur exploitation, 200 bêtes dont celles qui vont mettre bas sous surveillance vidéo (jour et nuit pendant l'époque du vêlage, Denis est "accroché" à sa télécommande...). Un regard vers leur "chaumière" passée, en marge du château... Le chef d'entreprise est satisfait : cette année encore, ses bêtes ne feront pas grève !!! | | A la porte de l'Alsace, second arrêt, "chez" Joseph cette fois-ci. Nous sommes attendus avec angoisse à La Roche d'Or : notre retard faisant craindre à l'accident irrémédiable, angoisse vite dissipée autour du, toujours, simple et excellent repas auquel nous avons été conviés... | | | | Jamais 2 sans 3 ! L'Alsace est un pays de fleurs (de géraniums surtout...) aussi faisons-nous un arrêt chez Danièle et Vincent (que nous ne verrons pas, hélas, trop occupé à enseigner...). Je découvre un nouveau "magasin-bijou" où les fleurs ne sont pas seules : parfums, décos diverses, petite jardinerie extérieure, un concept attrayant et sympathique pour une fleuriste passionnée, souriante et...sur les rotules ! 3 jours de repos tiendront lieu de...grandes vacances ! La France qui travaille... | | Ultime arrêt avant d'atteindre notre but : à Mulhouse, chez Alex et Claudia... Bonne et belle rencontre, si belle que j'en ai oublié, hélas, l'appareil photo qui pendait à ma ceinture... Et c'est l'arrivée à Kuttolsheim, Kutt pour les intimes... Trop tardivement pour dîner chez Jojo, c'est Gabrielle et Eric qui glanent en fond de frigo un repas bienfaisant... Nous avons également trouvé un (délicieux) quelque chose à nous mettre sous la dent chez Pascal et sa compagne, les amis de Joseph... Jojo a tenu, lui aussi, à nous inviter...en mémoire d'Ernest nous a-t-il semblé... Honneur à son met favori, au restaurant Pfister de Truchtersheim qu'Annette, en épouse aimante, s'est évertuée à reproduire à la maison. Les cervelas grillés à l'oeuf, une bonne idée ?.............. | | Invitation encore, invitation toujours et cette fois, c'est à Strasbourg que sainte Jeanne esseulée nous a, son repas, partagé... | | A la rue Haute Corniche aussi, ne me suis-je pas assis parfois même agenouillé pour quelques photos numérisées ?... | | Petite visite à Brumath, dans un appartement tout neuf, la résidence St Joseph, qui, hélas, par sa vie monastique, ne comble pas Charles attendant davantage de convivialité... Enfin, il y eut Handschuheim, vous savez ?, son perroquet et ses pavés : un délice préparé par Josée... C'est à déguster avec les doigts, bien sûr, pendant que "le gris du Gabon" dégustera son oeuf, tout seul comme un grand et comme le lui aura appris Muriel... Enfin ? Non point ! Kettelse recèle encore de maisons accueillantes et de bonnes tables... Et l'Alsacien n'a certes pas besoin de bière pour se garantir un embonpoint réjouissant... Chez Eric (sans Eric) et Gabrielle (avec Gabrielle), le riche plat du pauvre a su combler ce non-sens régional : une Alsace sans choucroute, ce n'est pas vraiment l'Alsace... Un peu plus haut et sur la même rue traversant de part en part le village, en bordure du "fleuve Souffel", Noëlle et Jean-Noël nous firent l'honneur de leur table, ma foi fort agréable également. L'avaient-ils pêché dans la Souffel, ce saumon sorti du four ? Nul ne le saura sans doute jamais... Bien sûr, un arrêt à Boersch était dans l'ordre des choses : un bonjour et une prière aux parents et ancêtres qui ont pris une (petite) longueur d'avance sur nous et un regard curieux jeté sur ce qui fut LE chalet... Sur le chemin du retour, et avant de quitter définitivement cette terre alsacienne, une ultime pause à Sélestat, pour découvrir la jolie maison de Christian et Marie-Danièle...et sa belle cuisine toute neuve ! Et, malgré le temps qui leur manquait ce jour-là, ils en prirent pour nous recevoir... Concluons cette balade par un sentiment dominant : il n'est pas faux de prétendre que l'alsacien est un as ! AS comme Accueil et Sourire... Et tant pis pour ses chevilles ! Bernard |